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24 heures du mans - Page 13

  • DE THÉLÈME A HRUBON

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    1967, le duel Ford – Ferrari va connaître un nouvel épisode palpitant aux 24 Heures du Mans. Les monstrueuses Ford MK IV vont tout faire pour écraser les Ferrari P4 V 12. McLaren, Donohue, Foyt, Gurney, Hulme, Scarfiotti, Patkes, Rodriguez, Amon, Vaccarella et quelques autres pilotes parmi les meilleurs du monde défendent les couleurs des deux équipes les plus performantes en endurance. 1968, la réglementation a changé. La cylindrée des prototypes est limitée à 3 litres et les voitures engagées en Sport comme la Ford GT 40 ne peuvent pas dépasser5.000 cm3. Mais la lutte s’annonce tout aussi acharnée. Plus ouverte aussi, car si les Ford GT 40 et les Porsche 908 recueillent la faveur des pronostics, les Alpine 3 litres, les Alfa Roméo T33/2 et la Matra MS 630 espèrent tirer leur épingle du jeu. Au niveau pilotes, le plateau est toujours aussi relevé. Ricardo Rodriguez, les frères Bianchi, Stommelen, Neerpasch, Giunti, Attwood, Wollek, Pescarolo, Servoz-Gavin, Elford, Larrousse, Siffert…

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    Une visite sur un topic d’Autodiva consacré à des photos et anecdotes se rapportant aux 24 Heures du Mans m’a rappelé un souvenir d’enfance, celui d’un prototype construit par une bande de jeunes afin de disputer la classique mancelle. L’histoire de ce petit prototype m’avait d’autant plus marqué à l’époque que peu de temps avant, je m’étais attaqué à mon premier roman, l’histoire d’une bande de jeunes lorientais qui construisaient une voiture dans le garage du grand-père d’un d’entre eux afin d’aller en découdre avec les Cobra et Ferrari GT dans la Sarthe et de lancer ensuite une petite série de ladite voiture. Ce premier roman commencé sur des cahiers d’écolier n’a pas connu la consécration par une publication dans la Bibliothèque verte, chez Signe de piste ni chez Rouge et Or, éditeurs leaders sur le créneau des romans jeunesse à l’époque. A ma décharge, je n’avais que dix ans quand je m’y suis attaqué et je n’ai jamais eu la prétention d’être un génie comme Mozart.

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    Le prototype que j’évoque aujourd’hui a vu le jour par contre. Parmi les aspirants au Mans en 1967 et 1968 figure une petite équipe française qui construit de manière artisanale un prototype équipé d’un moteur 1300 Gordini. En 1967, la voiture s’appelle Thélème. En 1968, elle devient Hrubon en adoptant le nom de son constructeur, Jean-Claude Hrubon.

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    La Hrubon, c’est un tout petit budget dans le monde de la course automobile : 120.000 F, c.à.d. à peine plus de 18.000 €. Certes, cette somme doit être appréciée en tenant compte de l’inflation. Mais nonobstant cette modulation, elle reste très faible par rapport aux budgets des autres écuries, y compris celles qui engageaient des petites cylindrées comme CD et Alpine (en 1968 d’ailleurs, Alpine engageait aussi de magnifiques protos 3 litres).

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    En 1967, la Thélème (future Hrubon) a exigé beaucoup d’huile de coude avant de faire humer l’odeur d’huile de ricin à ses pilotes et à l’équipe qui l’a construite. Jean-Cjaude Hrubon et la bande de jeunes qui l’ont aidé ont consacré 5.000 heures à la fabrication du prototype.

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    La presse s’est intéressée à cette sympathique voiture. Le dessin qui me l’a rappelée est issu de Pilote, mais je me rappelle l’avoir vue aussi dans Tintin et dans le cahier compétition de L’Automobile. Il faut dire que Jean-Claude Hrubon n’avait rien d’un utopiste inconscient des difficultés de la course. Après avoir exercé le métier de scaphandrier, il avait préparé des Cooper et participé à l’aventure mancelle de la Marcos pilotée par Claude Ballot-Léna et Jean-Louis Marnat au Mans 1966. La petite puce anglaise avait terminé l’épreuve à la 15ème place. Au plan sportif, le projet fut assez crédible pour qu’en 1967, Jean-Louis Marnat accepte d’en partager le volant avec Jean-Claude Hrubon. Hélas, la voiture manquait de préparation aux essais préliminaires d’avril. Elle cassa son moteur et se trouva reléguée sur la liste des suppléants. Elle ne prendra pas le départ.

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    En 1968, la Thélème est devenue Hrubon. Jean-Pierre Jabouille et Johnny Rives la pilotent aux essais préliminaires. Les ennuis n’épargnent pas la petite équipe. Allumage, transmission, bris de cardan. Mais n’oublions pas qu’avant d’aller au bout, les grandes équipes aussi ont essuyé les plâtres. Y compris Ford et Ferrari qui, certaines années, connurent des déroutes et de terribles « Waterloo » sur la piste du Mans. En 1968, la date des 24 Heures fut reportée au mois de septembre à cause des événements. La Hrubon était annoncée avec un équipage composé de Mrachesi, Champin et Gerbault. Mais une nouvelle fois suppléante, la voiture n’apparaîtra pas sur la ligne de départ. Dommage.

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    A défaut de faire courir une voiture portant son nom au Mans, Jean-Claude Hrubon a mis sa passion au service d’autres projets automobiles : une monoplace FF, une réplique raccourcie de la Mini-Moke, un cabriolet Mini, l’école de pilotage du circuit du Luc… Passion, quand tu nous tiens.

    Aux essais préliminaires du Mans 1967, la Thélème portait le numéro 62. A ceux de 1968, elle avait reçu le 68. Si vous avez d’autres infos et anecdotes sur ce sympathique prototype, les commentaires sont les bienvenus.

    Thierry Le Bras 

  • LA 908 ORECA DOIT REVENIR AU MANS

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    Classe, fair-play, respect de l’adversaire, telles sont les impressions que laissent les déclarations des pilotes de la Peugeot 908 Oreca, Olivier Panis, Nicolas Lapierre et Loïc Duval au terme des 24 Heures du Mans 2010. J’avais avoué ma qualité de supporter de cet équipage sur Circuit Mortel :

     http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/03/loic-duval-pilote-908.html

    Et :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/09/908-contre-r15.html

     

    Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu pour les Peugeot cette année. Quatre voitures aux quatre premières places après les essais qualificatifs, et quatre abandons avant la ligne d’arrivée.

     

    La 908 Oreca tenait son rang. Retardée par un bris de cardan à 3 heures du matin, la voiture avait perdu cinq tours. Malgré tout, au début de l’après midi du dimanche, elle était sur le point d’accéder au podium lorsque la mécanique en décida autrement. C’est ça aussi la course. Parfois, elle apporte des joies immenses qu’accompagne le pétillant Champagne de la victoire. D’autres fois, elle s’achève sur le goût amer de la déception, voire des larmes comme celle de Sébastien Bourdais, pilote officiel Peugeot et auteur de la pole.

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    Loïc Duval n’aura pas reçu le cadeau qui lui aurait fait

    le plus plaisir pour son 28ème anniversaire qui tombait samedi,

    à savoir un podium au Mans. Ce n’est que partie remise !

     

    « C’est un peu dur d’abandonner à une heure de la fin, regrette Loïc Duval. Mais il y en a d’autres  comme Franck (Montagny), Stéphane (Sarrazin) et Sébastien (Bourdais) à qui c’est encore passé sous le nez alors qu’ils courent après depuis des années. L’auto était bien. Je pouvais tout donner pour aller chercher Capello, mais nous n’avons pas touché aux réglages du moteur pour autant, c’était ceux que nous avons utilisés toute la course. La mécanique n’a pas voulu suivre. C’est Le Mans, on le sait. Il faut féliciter Audi, ils ont connu zéro problème. »

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    « Un moment terrible pour toute l’équipe, confirme Olivier Panis. On a fait le maximum. On savait qu’on pouvait avoir le podium. Loïc (Duval) et Nicolas (Lapierre) ont été très performants toute la matinée. Nous étions rendus à 10’’ derrière  l’Audi pour la troisième place… Revanche l’an  prochain. »

     

    Pas question de reprocher leur attaque aux pilotes de la 908 Oreca. « On avait dit gaz à fond à Loïc et Nicolas, témoigne Hugues de Chaunac, patron du team. Mais si on avait soupçonné le moindre problème sur le moteur, nous aurions  décidé de lever. »

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    Loïc Duval aura réalisé le meilleur temps en course, ce qui démontre, outre la fiabilité et la rapidité du pilote, la compétitivité de toute l’équipe. Alors, rendez-vous l’an prochain avec l’équipage Duval – Panis – Lapierre pour un podium.  Si possible sur la première marche. Ils le valent bien, même s’ils ne font pas de pub pour une certaine marque de shampoings.

     

    Et Bravo Audi, les plus forts cette année. Une victoire qui permet à la marque aux anneaux de  rejoindre Ferrari au nombre de victoires dans la  Sarthe (neuf).

     

    Pour plus de détails sur la course de l’équipe de la 908 Oreca, cliquez sur le site de Loïc Duval :

    www.loicduval.fr

     

    Thierry Le Bras

  • BELLES DE COURSE : LES PORSCHE 917

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    1969, Porsche engage un nouveau monstre dans les épreuves d’endurance. La 917, dont la construction des 25 exemplaires nécessaires à son homologation en catégorie Sport est achevée débarque dans la Sarthe avec de grosses ambitions. Son moteur d’une cylindrée de près de 5 litres développe 580 chevaux.

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     La bête est conçue pour frôler les 400 kilomètres/heure dans les Hunaudières. Seul problème, sa tenue de route est encore très délicate. Trois 917 seront au départ, les deux voitures officielles confiées à Stommelen – Ahrens et Elford – Attwood, ainsi qu’un modèle privé piloté par John Woolfe et Herbert Linge. Les 917 officielles de Stommelen et Elford s’emparent autoritairement de la tête de la course, ce qui n’est pas une surprise. La troisième 917 par contre ne bouclera pas le premier tour. John Woolfe sort de la piste. La Ferrari de Chris Amon percute la Porsche 917 au niveau d’un réservoir. La 917 s’embrase. John Woolfe (1) est éjecté et trouve la mort. Aucune des nouvelles Porsche officielles n’ira au bout de la course, mais les bêtes de Stuttgart reviendront.

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    La caisse nue d’une 917 ressemblait à un squale prêt à dévorer la concurrence.

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     Les plus belles 917 furent à mon sens les versions longues de 1971. L’Écurie Martini en engageait une pour l’équipage Gérard Larrousse – Vic Elford (N° 21). Celle de John Wyer en alignait deux, la N° 17 pour Jo Siffert – Derek Bell, et la N° 18 pour Ricardo Rodrguez – Jackie Oliver. D’authentiques seigneurs du Mans et de la compétition automobile en général. La  917, symbole de puissance, auréolée d’un palmarès magnifique, est peut-être la plus belle voiture de course de tous  les temps.

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    J’étais encore lycéen en 1971 et j’avoue avoir enragé de ne pas pouvoir admirer ces monstres mécaniques au bord de la piste. D’autant que la réglementation changeait à partir de 1972, limitant la cylindrée des voitures courant pour la victoire à 3 litres et condamnant de facto les 917 au musée.

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    Aux essais, Vic Elford  décroche la pole position à la moyenne hallucinante de 248 kilomètres/heure.

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     Steve McQueen, premier rôle humain du film Le Mans dans lequel il interprète le rôle du pilote d’une Porsche 917 Gulf Wyer devait donner le départ. Retenu par un tournage aux States, il se voit contraint de transmettre cette mission à l’ambassadeur des Etats-Unis. Lorsque ce dernier abaisse le drapeau tricolore qui libère la meute des furieux, Pedro Rodriguez s’impose en tête. Il imprime une allure de Grand-Prix à la première heure de course.

    Après les ravitaillements, la voiture sœur de Jo Siffert et Jackie Oliver pointe à son tour en première position. Mais les 917 longues ont mangé leur pain blanc. Une pluie d’ennuis va s’abattre sur elles. C’est d’abord la numéro 21 aux couleurs Matini qui quitte la course, moteur cassé.

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     Puis la 18 perd une demi-heure aux stands par la faute d’un arbre de roue cassé. Pedro Rodriguez repart à l’attaque, mais une canalisation cède. L’huile bouillante envahit l’habitacle. Le moteur rend l’âme. C’est l’abandon.

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    Il ne reste plus qu’une 917 longue en course et elle va vivre un vrai chemin de croix. Ennuis d’éclairage, problèmes de freins et roulement de roue cassé se succèdent pour ralentir sa course. Enfin, durant la 17ème heure de course, la voiture renonce, bloc moteur fissuré.

     Les 917 longues ne remporteront jamais Le Mans. Mais les versions courtes prennent le relais. La 917 K Martini de Helmut Marko et Gisj Van Lennep l’emporte devant la machine identique engagée par John Wyer pour Richard Attwood et Herbert Müller.

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     Cette année, le 8 juin à 11 heures, le moteur d’une Porsche 917 va rugir pour la dernière fois  dans la ligne droite des tribunes du circuit des 24 Heures. Grâce à la Fondation du Patrimoine, la 917 qui portait le numéro 17 aux 24 Heures du Mans 1971 a été restaurée et reconditionnée en version « Martini ». Avant de rejoindre le musée, elle fera quelques allers et retours devant les stands aux mains de Gérard Larrouse. Un joli spectacle en perspective !

    L’ambiance du Mans vous fascine ? Vous êtes curieux d’histoires, événements  et anecdotes au cœur de la course. Alors, je vous invite à cliquer sur les liens qui suivent en cette 24ème semaine de l’année qui n’est pas tout à fait comme les autres puisque c’est celle des 24 Heures !

     

    Le Mans, d’abord, c’est une info en continu sur le site du Comité régional Bretagne Pays de Loire géré par mon ami Gaël Meignen

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=category&id=1&Itemid=3

     

    Le Mans ensuite, c’est une longue préparation de la semaine de la course :

    Loïc Duval, pilote 908

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     http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/03/loic-duval-pilote-908.html

    Le Mans enfin, ce sont des pages d’histoire, par exemple :

     

    908 contre R15

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/03/loic-duval-pilote-908.html

     

    1965 : Johen Rindt remporte les 24 Heures du Mans :

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=363:1965-jochen-rindt-remporte-les-24-heures&catid=1:circuit&Itemid=3

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    1976, une édition très chaude des 24 Heures du Mans

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=377:1976-une-edition-tres-chaude&catid=1:circuit&Itemid=3

     

    1976 : quelques photos des pilotes de l’Ouest

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=378:1976-les-pilotes-regionaux-en-images&catid=1:circuit&Itemid=3

     

    Didier Pironi et José Dolhem, deux frangins sur la piste :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/06/08/didier-pironi-et-jose-dolhem-deux-frangins-sur-la-piste.html

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    Le Mans 2005 : compte à rebours pour Bastien Brière :

    http://www.endurance-info.com/article.php?sid=2705

     

    Didier Pironi, ses premières 24 Heures :

    http://www.endurance-info.com/article.php?sid=1647

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    Didier Pironi, pilote Porsche puis pilote BMW au Mans :

    http://www.leblogauto.com/2007/01/didier-pironi-gt-et-seventies.html

     

    Le Mans 1987 : une Porsche tout feu tout flammes

    http://www.endurance-info.com/article.php?sid=2305

     

    Défi sarthois pour le Clan Vivia :

    http://www.endurance-info.com/article.php?sid=2844

     

    Anecdotes sur la piste mancelle :

    http://www.leblogauto.com/2006/10/roman-de-course.html

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    Une petite fiction sur fond de 24 Heures du Mans 2008 en catégorie LMGT1 dans l’univers de David Sarel, un des principaux héros récurrents de mes romans

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/06/12/pneu-importe-le-choix-pourvu-qu-on-ait-la-vitesse.html

     

    Ainsi qu’un retour sur le mental des pilotes avec David Hallyday :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/04/28/david-hallyday-et-le-mental-des-pilotes.html

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    Hommage à Mike Hawthorn qui traversa une vie faite de rêves et de cauchemars :

    http://confidentielpaddocks.over-blog.com/article-mike-hawthorn-une-vie-de-reve-et-de-cauchemar-43343599.html

     

    Hommage à José Dolhem, qui courut régulièrement au Mans :

    http://confidentielpaddocks.over-blog.com/article-jose-dolhem-eclectique-rapide-et-fiable-48577542.html

     

    (1) et parmi les livres à lire, sur les 24 Heures du Mans, je  vous  recommande « Qui se souvient de John Woolfe » , un excellent ouvrage de Michel Boixière et Michel Fournier sur les  traces  du pilote anglais. :

    www.l-oree.org/john_woolfe.htm

    Je vous rappelle aussi  les nombreux albums de Michel Vaillant dont l’action se déroule aux  24 Heures du Mans :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2007/06/24/dylan-montusset-pilote-vaillante.html

    Et je ne peux pas ne pas évoquer « Chicanes et Dérapages  de Lorient au Mans », un roman que j’ai commis :

    http://www.ffsa.org/article.php?comite=comite12&titre_url=chicanes-et-derapages-de-lorient-au-mans&id=13352

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     pour aujourd’hui

     

    Texte :

    Thierry Le Bras